Suite de la foret [PV Electra]

[C'Est pas grave, je suis aussi coupable que toi, je sais que je ne t'ai pas rep sur Ragnia et j'en suis vraiment désolé, je vais me rattrapper lorsque j'aurais le temps.]

Après qu'Electra demanda a son maître si c'était la vérité, Saber s'arrêta et lui lança un regard glacial. La jeune démone se retourna alors et soutena sans crainte le regard de son chef. Le mage semblait abasourdit par la question de son élève. Electra jouea alors le jeu.

-Comment pourrais-je croire quelqu'un que je n'ai jamais rencontré ? Je voulais seulement savoir la vérité, même si je sais que ce n'est pas de mes affaires et je m'excuse de vous avoir manqué de respect, maître.

Saber disait qu'elle avait bien tué son frère, mais que c'était de la légitime défense, que si elle ne s'aurait pas défendu elle aurait périt. Personnellement, Electra ne savait pas quoi penser. Toya ne lui avait jamais parlé de cette histoire et il ne lui en parlerait sûrement jamais. De toute façons, comme disait la femme démon, c'était du passé et ça resterait du passé, alors Electra ne reparlerait plus. Après avoir finit de parler, les deux démones se remirent en marche, et encore une fois, le silence perdura pendant quelques minutes. Au bout d'un moment, elles arrivèrent a un tunnel, un immense tunnel. Saber s'y engagea, mais Electra resta a l'extérieur pour bien observer ce trou sombre. Une fois a l'intérieur elle serait en permanence a porter de la mains du mage de la colère, devrait-elle se méfier ? Bien sûr que oui, mais si elle voulait en savoir plus sur cette cité qu'elle n'avait jamais vut et sur son maître, elle devait y entrer. Cet alors qu'après un moment de réflexion, La jeune femme s'engagea a son tour dans le tunnel. Grâce a sa vision nocturne, Electra pouvait très bien voir où elles allaient dans le noir. Saber ne semblait pas possèder cette caractéristique, car elle fit apparaître une boule de feu pour y voir plus claire. La lumière qui procurait cette petite boule, éblouis pendant un instant la jeune démone, habitué a sa vision spécial, mais elle s'en remis. Comme son maître lui avait suggéré, l'apprentie mémorisa chaque passage et se l'ais répétait dans sa tête pour être sûr de ne pas oublier.

-Combien y a-t-il de tunnel piègé ?

Electra s'avança en restant derrière Saber. Elle mémorisait chaque tunnel qu'elles empruntaient, car d'après le mage, il devait bien y avoir plus de millions de tunnels piègés, tous aussi mortels les uns que les autres. Le chemin était compliqué, mais la jeune démone arrivait a se situer. Finalement, elles arrivèrent a sortir du tunnel ou elles étaient et se qui si trouvait devant eux impressionna Electra. Cela ne ressemblait pas du tout a se qu'elle aurait pu penser, c'était bien plus beau et vivable. Saber souhaita la bienvenu a son élève et lui expliqua où se trouvait son palais en l'occurrence la prochaine demeure d'Electra.

-Aurais-je le droit de quitter la ville ? Devrais-je demander votre permission ?

Si Electra voulait revoir Toya, elle deverait sortir de la ville. D'ailleur si Kai voulait retrouver sa maîtresse, il devrait savoir le chemin sans danger pour la rejoindre. Si Saber ne la laisserait pas sortir de cette ville, Electra le ferait en cachette pendant la nuit ou discrètement pendant le jour. L'elfe lui manquait déja, mais elle savait qu'elle ne pourrait pas retrouner dans la forêt avant un moment, surtout qu'elle devait gagner la confiance de son maître pour qu'elle est confiance en elle en retour.

*Alors c'est ici que les démons vivent...pas mal comme endroit....*

Après avoir poser sa question, Electra croisa le regard dur de son maître. Saber lui déclara qu'elle ne pourra pas sortir de la ville se qui arracha un soupire a la jeune démone. Cet entraînement sera plus sérieux qu'elle ne le croyait. Le chef des démones expliqua qu'elle pouvait venir chercher son élève autant de jour comme de nuit, autrement dit, Electra n'avait plus de chance de revoir l'elfe de si tôt. La jeune femme n'était pas idiote, elle n'allait sûrement pas prendre la chance de sortir la nuit pour ensuite se faire prendre par son maître et pour qu'elle découvre son secret le plus cher.

-Très bien..., soupira-t-elle.

Saber reprit son chemin et Electra la suivit. Elles entrèrent dans la ville et empruntèrent la rue devant elles. L'apprentit continuait de mémoriser chaque détail qui lui serait important ou utile. Elle n'écouta que d'une oreille son maître lorsqu'elle reprit la parole. Un battement d'aile interrompit la jeune femme dans ses pensées, elle vit alors un rapace aussi noir que la nuit se poser sur l'épaule de Saber. Ainsi donc, son maître avait aussi un rapace comme compagnon. La jeune apprentit observa alors attentivement l'oiseau pour lui trouver une quelquonque caractéristique, mais en vain. Peut-être que Saber pourrait utiliser son oiseau pour suivre son élève, Electra devra donc faire attention.

Une légère, mais appétisante odeur flottait dans l'air ce qui donna l'eau a la bouche a la jeune démone. Elle n'avait pas mangé depuis un moment et en sentant cette odeur, son estomac se réveilla d'un coup. Electra continua sa route toujours derrière Saber. Le chef démon parla de nouveau en disant que peut-être, elle laisserais son apprentit sortir de la ville une fois de temps en temps. Cette nouvelle fit sourire légèrement la jeune femme. Arrivée au palais, Saber et Electra se dirigèrent vers un salle qui se trouva a être la salle a manger. Une table immense était au milieu de la pièce, bien trop longue pour le chef et son apprentit. Saber appris alors a son élève qu'elles mangeraient en compagnie de généraux.

-D'accord, est-ce que nous prenons place tout de suite ?

Lorsqu'Electra demanda a son maître si elles prenaient place, Saber répondit que non. Elle disait qu'il fallait soigné leurs blessures et se revêtir. La jeune démone avait complètement oublié ses blessure a ses avant-bras. Elle devait sûrement s'être habitué a la douleur. Sans rien rajouter, Electra suivit son chef a un escalier. Elles montèrent de deux étages, puis Saber les amenèrent dans une sorte de grande salle de bain. La démone déclara a son apprentie qu'elle pouvait se changer là. N'étant pas pudique, la rouquine enleva sa robe boire et blanche et prit le bout de tissut que son chef lui tendait.

-Qu'est-ce que c'est ?

En lui demandant, Electra appliqua le tissut sur un de ses avant-bras et ne pu s'empècher de faire une grimace a cause de la douleur. Elle finit tout de même a désinfecter ses blessures. La jeune démone jeta un coup d'oeil au corbeau qui s'envola, puis elle le revit lorsqu'il entra de nouveau dans la pièce. Il transportait une robe pour Saber. Electra se détendit alors et alla voir dans la blanchisserie. Elle prit alors sans hésitation, une jolie robe complètement noire qui lui allait au cheville. Sans demander a son maître, la jeune femme prit son poignard et fit une entaille dans la robe de sa cuisse jusqu'en bas. De cette manière, Electra se sentait plus libre de ses mouvements et elle trouvait que cela fesait plus chic. Elle déttacha ensuite ses cheveux qui lui allait en bas des fesses et enroula le ruben rouge autour de sa mains. La démone regarda alors Saber en attendant qu'elle soit prête.

-Combien sont vos généraux ? Sont-ils nombreux ?

Je l'écoutais parler de son armée avec attention. Elle paraissait fière de son armée qui était sienne. «Une armée puissante qui ne craint rien...». Elle voulait sûrement être sûre d'avoir une longueur d'avance sur ses ennemis le temps venu. Elle nomma son général le plus obeissant ainsi que le nom d'un autre que j'avais déjà rencontré. Le petit gamin. Saber expliqua qui était Tsu simplement. Je n'étais aps d'accord avec elle, Tsu n'était pas un crétin, au contraire, il pouvait devenir une grande personne plus tard sans être necessairement dans l'armée, mais bon. Ce n'était pas a moi de décider de son futur. Lorsque je fû prête, nous descendions les escaliers jusqu'à la salle a manger. Cette grande salle était honoré d'une seule personne, enfin pour l'instant. Saber me présenta au général dont elle m'avait parlé. Je fis une légèrement révérance pour le saluer, puis j'écouta Saber. Si j'avais des questions, je pouvais le lui poser. Je posa mon regard sur le général avant de dire:

-Bien sûr, j'imagine que son expérience ainsi que son savoir pourrait tout au long de mon trajet ici.

Je lui souris honnêtement tout en remarquant d'autre soldat quelquonque arrivait peu a peu dans la salle.

Une fois assise, les discussions commencèrent des plus belle. Il n'y avait aucune conversation qui était lié a tout le monde ce qui formait une sorte de brouhaha fortement désagréable. Je ne fis rien remarquer cependant, je me calla dans mon siège, puis observa les généraux. Tous a l'allure a faire peur. Grand, costaud, la voix grave ou d'autre plus mince, mais qui tenait des sourires pas très digne de confiance. J'imagine que c'était des démons agilent au combat, mais idéal pour espionner ou des missions dans le genre. De la nourriture fut posé sur la table et vu que Saber n'en mangeait pas je n'en mangea pas non plus, de toute façon la faim n'était pas là. Du premier coup d'oeil a chaque guerrier, j'essayais de deviner les points forts et les points faibles. La colère était bien le pèché des démons, quelques fois je me demandais si certaines conversations arriveraient a rester pacifique. Ça parlait fort, ça buvait, ça mangeait et Saber quand a elle, semblait tout a fait ennuyée. Elle se pencha vers moi, quelque chose d'urgent a faire ? Dommage que je ne pouvais pas prendre congé, car de mon côté il aurait été fort interessant de suivre mon maître, discrètement bien sûr. Cependant, je me disa que cela allait être pour une autre fois. Saber se leva et exigea le silence. Elle me présenta, puis sortit sans crier gare. Je la suivis du regard pendant que le silence reignait, puis lorsque je détourna brusquement mon regard énervé sur les généraux, ceux-ci reprirent leur conversation. Je soupira, puis je croisa les jambes sur la table en prenant le moins d'espace possible. J'appuya mon coude sur mon siège, puis appuya ma tête sur mon poing.

Quelques-un vinrent me dire leur nom et se présenter. Je l'est accueilla avec un sourire, mais oublia sur le champs leurs noms. Lorsque la soirée devint longue et enocre plus agaçante, en plus d'être ennuyante, je demanda au général que j'avais rencontré en premier de me montrer ma chambre. Il se fit un plaisr de mis accompagner. Je le remercia, puis j'alla me coucher, mon poignard sous mon oreiller et un oeil ouvert.


[Terminer !]